Sauvez Pingu.
Nombre de miles parcourus : 5miles en voiture et environ 10 à pieds.
Après la grosse journée de la veille, ce matin on ne se presse pas trop et c'est à 7h30 qu'on s'éveille. On se prépare, encore un peu endolories mais bien reposées de notre folle journée à Universal. Pour varier les plaisirs et espacer les « big day », aujourd'hui on délaisse Universal pour Sea World (lorsque vous achetez un ticket pour 2jours, pas de problème du moment que vous utilisiez le second ticket 14jours maximum après le premier). On avait déjà nos tickets (achetés sur UndercoverTourist https://www.undercovertourist.com/ en même temps que ceux de Busch Gardens) alors keep cool.
On embarque dans Abraham après avoir été prendre un jus de pomme au lobby (on a compris, on laisse tomber le « petit déjeuner » infecte ). Normalement, il nous fait vingt petites minutes pour relier les 5 miles qui nous sépare de Sea World mais entre les travaux et les bouchons...ben on mettra 30 minutes ! Le parc ouvre à 9h et c'est à 9h pile qu'on arrive dans le parking alors on ne perd pas de temps, on se gare et en route mauvaise troupe !
Le parc fête ses 50ans!
L'entrée du parc est mignonne avec son petit phare. SeaWorld, premier du nom, ouvrit en 1964 à San Diego. Les parcs de la franchise ont pour but de faire découvrir la faune marine y compris les adorables dauphins et les impressionnants orques. Ayant des admirateurs comme des détracteurs, ce type de parc aquatique où l'animal sauvage devient un performer qu'on affame avant les shows (voir Blackfish) essaye de redorer son blason depuis l'incident de 2010 qui provoqua la mort d'une soigneuse. Les parcs mettent beaucoup en avant le bien-être des animaux et leur programme de protection de l'environnement. Je ne vais pas plus m'attarder sur la polémique : oui je trouve cela révoltant d'enfermer des animaux sauvages dans de petits bassins mais oui, aussi, je trouve cela inévitable et indispensable si cela est fait dans de bonnes conditions. On peut revenir alors sur la question des zoos qui restent néanmoins différent dans le sens que les orques sont parmi les uniques animaux toujours capturés pour peupler les bassins car la reproduction en captivité est impossible sans insémination et encore rare. Enfin, passons sur le sujet de la cause animale (même s'il y aurait beaucoup à débattre) et concentrons-nous sur la partie amusement...
Le parc est divisé en différentes « sea »
La mascotte du parc, Shamu
En 2009, je n'avais pas fait le détour par Sea World alors cette année, pas question de rater ce parc ! Une fois dans l'enceinte, on choppe un plan et on place le sac à dos dans un casier. Eh oui, même société que Busch Gardens et donc locker à tout va pour les attractions. Et ici, franchement ça devient n'importe quoi : 1$ pour un mini locker. Autant vous dire qu'on va faire les 3 attractions qui requièrent un casier avant de reprendre nos affaires même si ça nous fait traverser tout le parc ! On dépose donc tant bien que mal le sac à dos et mon APN dans un locker (en poussant un peu beaucoup) et direction la première attraction du parc : Manta. La file d'attente (5minutes) est superbe : elle nous permet d'observer de magnifiques spécimens de raies, ces poissons si aériens. Le flying roller coaster ouvert en 2009 qui devrait nous donner les sensations des raies Manta nous attend mais deux évènements me gâcheront un peu l'expérience :
1) alors que Carole est bien installée et que son harnais a bien fait « crac » indiquant qu'il est bloqué, ben un gars de l'attraction viendra réessayer le harnais pour ensuite le débloquer et dire à Carole qu'elle ne peut pas faire l'attraction.
2) Et moi, je me ferai repérer avec ma caméra alors qu'elle était bien caché alors pas de film de l'attraction.
Je râle dans ma barbe, triste pour Carole (ok pour la sécurité mais là, un gars avait vérifié et dit ok et le harnais était bien bloqué) mais la sensation de voler emportera mon air bougon et je me laisserai transporter durant ce vol fluide. Une bonne attraction, surtout qu'on se retrouve face au sol et pas juste les pieds dans le vide !
Admirez la taille du locker
Prochaine attraction : Journey to Atlantis. Cette attraction est un mix entre petit coaster et ride de type « barque ». Là aussi les sacs sont interdits. On embarque en moins de 5 minutes pour un voyage dans les profondeurs de l'Atlantide. Une partie dark ride mignonne, un petit bout de coaster (la barque se retrouve sur des rails) et une bonne chute qui mouille bien font de cette attraction un ride fort sympathique !
09280002 by Coralie Mic, sur Flickr
Nos petites têtes au premier rang
On est bien mouillées!
Juste à côté (enfin, presque, les distances, pour une fois, paraissent plus grandes sur papier qu'en réalité), on se rend à notre dernière attraction-sans-sac-ces-crevards-veulent-nos-quarters, Kraken. L'entrée de l'attraction est très kitsch avec ses monstres-anguilles sous acide-hippies. On nous indique à l'avance d'enlever nos boucles d'oreilles, ça c'est sympa d'y penser histoire de ne pas avoir le syndrome de la barre et du papillon qui rentre dans la peau. 20Minutes de queue...car ils ne font tourner qu'un train, pépouze. Le gars aux commandes dans sa cahute s'amuse même à faire le guignol avec les guests que nous sommes. On embarque enfin et Carole peut cette fois profiter de floorless coaster. Il est chouette aussi, bien fluide. Et ce qu'on ne peut pas retirer SeaWorld, c'est le fait que leurs attractions sont longues. Il n'y en a pas des tas, mais chacune nous régale.
On veut refaire une seconde fois le Kraken mais le temps d'embarquement est trop lent alors, demi-tour pour récupérer nos affaires et pouvoir profiter du parc plus tranquillement (et en faisant des photos pour ma part, ça me manquait ).
On se rend alors à Antarctica, une partie du parc plus récente ouverte en 2013. Sous le soleil de plomb, c'est assez drôle de se retrouver au milieu de gros glaciers qui ne fondent pas. 20 minutes d'attente à Empire of the Penguin, l'attraction principale du land. On se dit qu'il est encore tôt et qu'on repassera tantôt car maintenant, notre but est de remplir nos estomacs. Il est 11heures passées et on n'a toujours rien avalé. On fait un arrêt au Expedition Cafe, le food court du land. Pouaaaah, tout est méga cher et rien ne fait vraiment envie. J'opte pour la version « radine » et je prends un petit side de nouilles à 4$ et Carole prend un plat de pâtes froides à 6$. Nous avons de l'eau dans nos sacs alors pas de soucis !
Au début on s'est dit: "mais elle est folle cette employée avec sa grosse doudoune!!!" On a vite compris quand on sera à l'intérieur plus tard!
Rencontre glacée
Les différents comptoirs
Les pâtes de Carole
Mes nouilles
Après ce petit repas qui coupe la faim, on est repartie pour de nouvelles aventures. Ah ben tiens, Empire of the Penguin est en panne ! Ce n'est pas grave, on va se placer devant The Whale and Dolphin Stadium où à 13h va avoir lieu le show Blue Horizons. Vingt minutes avant le spectacle, les portes du stade s'ouvrent et on peut aller s'installer à une bonne place au milieu. Outre ses quelques attractions, Sea World est surtout reconnu pour ses shows marins (ou moins) et celui-ci est un des deux immanquables. Mêlant performers humains, perroquets et autres oiseaux tropicaux et acrobaties de dauphins, ce show en met plein les yeux. Sauf niveau histoire : une petite fille, jouée bien sûr par une adulte d'une trentaine d'années en collants roses, fait un rêve où elle rencontre un homme bizarre et des méchants pas beaux hommes-perroquets qui deviennent gentils. Ah bon, je n'ai pas tout compris ? Mais y-a-t-il vraiment quelque chose à comprendre ? Sauf que le premier rôle masculin, joué par un black assez fort qui a dans la quarantaine, se plantera plusieurs fois dans ses figures acrobatiques avec les dauphins, dommage. Mais j'aime toujours observer ces animaux si gracieux avec un petit côté joueur. J'avoue que les costumes et figures des acrobates m'ont fait parfois pensé au Cirque du Soleil (inspiration non-dissimulée).
J'aime bien le fait qu'on puisse voir sous l'eau!
Coucou
Un banc de dauphins
Tout le monde il est beau et gentil!
On repasse par Antarctica : 40minutes d'attente, mouarf. Allons faire un tour avant de nous engouffrer dans la file. On s'amusera un moment à Pacific Point Preserve à observer les éléphants de mer et les phoques.
Il est temps maintenant de faire la dernière grosse attraction du parc, Antarctica : Empire of the Penguin. Le soleil chauffe plus que fort et cette file d'attente sera un supplice où l'on profitera de chaque petit centimètre carré d'ombre, laissant parfois des trous dans la file pour rester à l'ombre (les autres visiteurs faisaient d'ailleurs de même). Pour rajouter au supplice de la file qui n'avance pas non seulement je ferai tomber ma caméra qui sera éraflée et un peu rouillée du zoom au début mais en plus la latino derrière nous qui nous faisait déjà c**** depuis le début en nous frôlant et en se collant à nous ouvrira sa bouteille de Sprite qu'elle venait de faire tomber sur moi : bonjour la jupe remplie de liquide collant. Et la te-pu (excusez du langage) ne s'excusera même pas, c'est son mari qui devra le faire alors que j'avais ma jupe bien mouillée et que j'aurais pu attirer les insectes toute la journée ! Grrrr. Alors qu'on est dans la dernière ligne droite avant de rentrer dans la salle de pré-show, l'attraction tombe à nouveau en panne. On se dit que tant qu'on est là (depuis déjà 20-25minutes), autant attendre encore un peu. Avec un peu de chance...Seulement que nous et la chance, ça fait zéro. On se pose les fesses par terre pour attendre le redémarrage de l'attraction. Les gens partent de plus en plus. On se retrouve à une dizaine...mais après 45minutes d'attente, on laisse tomber l'affaire en râlant.
On aimerait bien que ce soit de la vraie glace!
On se promène alors dans le parc que l'on trouve en fait peu rempli en attractions. On fait un ptit coucou à des plongeurs que l'on présente, on va également voir les bassins avec les petits requins et gros poissons avant de s'attaquer à celui qui fait frissonner tout le monde à la plage : le grand requin blanc. Pour observer ces belles bêtes, on passe dans un tunnel tapis roulant alors on laisse passer un gros groupe qui vient de débarquer avant de s'engouffrer dans Shark Encounter. C'est vraiment hypnotisant d'être entourer d'eau et de voir évoluer les requins au-dessus de nos têtes. On repère même toutes leurs « petites » dents.
Souvenirs
Raie
Lorsqu'on repasse à Antarctica, on voit que l'attraction est ré-ouverte et on aperçoit des gens qui étaient avec nous dans la queue tout à l'heure passer par le côté (dont la latino sans gêne), ni une, ni deux, on demande à l'employé de l'entrée pour passer. Celui-ci nous reconnaît et nous laisse passer en disant que c'est exceptionnel car il ne saurait pas laisser passer tout le monde qui était dans la file. Yeepee, on y est ! On va rentrer dans la salle de pré-show ! D'ailleurs, nous sommes les dernières à rentrer dans la pièce sombre et déjà fraîche pour observer un petit film sur les pingouins. Et surprise, qu'y-a-t-il après ? Encore de la queue ! Mais bon, on y est cette fois...sauf que après avoir avancé de deux mètres...ben l'attraction est à nouveau en panne ! Comme on est à l'intérieur, on nous laisse assez bien d'espoir sur sa reprise et pour nous faire patienter on nous distribue des craies de couleurs. Oui, oui, on crayonne sur le sol en attendant ! Mais voilà, 10 minutes, puis 20...pour finir, on évacue la file mais on peut aller voir via les backstages les pingouins. Autant vous dire que cette attraction on la hait un peu alors qu'on ne l'aura jamais faite pour finir mais perdre presque 2heures d'une journée pour une attraction qui tombe sans cesse en panne, c'est un peu fort ! On nous dira que ça faisait longtemps qu'elle n'était plus tombée si souvent en panne ; c'est bien notre veine ça ! Cette fois au moins on peut aller voir les pingouins (car sinon, aucun moyen de les voir sans faire l'attraction). Glaglagla, il faut horriblement froid ! Mais on prend 5-10minutes pour observer ces petits oiseaux marins assez drôles qui se chamaillent, se coursent, sautent... Puis on ressort vite pour se réchauffer. L'attraction ne redémarrera pas de la journée et on compte bien aller se plaindre en bonnes européennes que nous sommes.
Nos oeuvres d'art
On ne dirait pas mais on se les gèle là
Le parc ferme à 18h mais on remarquera que plus l'heure avance, moins il y a de choses à faire : la nourriture de la plupart des animaux, c'est fini et les show commencent à jouer leur dernière représentation. On tentera d'aller au Seaport Theatre pour voir Pets Ahoy ! mais 15 minutes avant le show, celui-ci est déjà complet !
On va alors dans une partie du parc un peu plus reculée car il faut traverser le long pont du lac pour s'y rendre (et franchement, c'est long). Je trouve cela assez bizarre d'avoir déjà placé tous les sapins de Noël alors qu'Halloween n'est même pas encore terminé ! Après l'Antarctique, passons à l'Arctique avec Wild Arctic. Deux choix s'offrent à vous : soit regarder le film version pèpère cinéma soit le regarder dans un simulateur de vol d'hélicoptère. Vous nous connaissez, on opte bien sûr pour la version remuante. Et que dire... on a bien rit ! C'est le plus vieux simulateur que j'aie jamais fait : sièges « dévorés », décorations de fer qui ont bien vécus, films pouilleux, effets qui te retournent les entrailles et te scient l'abdomen, son pourri...ah la la, Sea World tu nous surprendras encore et toujours ! ^^
Mmmh le bon simulateur sorti tout droit des années 80
Mais à la sortie deux points positifs : 1) on profite du peu de monde pour observer tranquillement les morses et belugas (que j'aime d'amour ) 2) on nous distribue des petits sachets de chics (aka bonbons pour les non-initiés aux belges) gratos. Ca nous fera toujours un petit truc pour remplir l'estomac. On nous prendra une dizaine pour se refaire de cette journée mi-figue mi-raisin.
On enfonce nos doigts dans la vraie glace
Coucou beluga!
Gros pèpère
Je suis attaquééééée
La journée est déjà presque terminée mais il reste encore le bouquet final au Shamu Stadium : le show One Ocean avec en stars les Killer Whales ! On va bien tôt pour avoir une place pour le dernier show de la journée qui attirera les foules. On s'installe au milieu mais pas trop, on n'a pas trop envie de se ramasser une douche d'orque avec le soleil qui se couche et pour reprendre la voiture. Pendant l'attente on observera les gens et on remarquera qu'avant le show ils essayent de nous vendre tout et n'importe quoi y compris les serviettes « spéciales » pour s'essuyer des éclaboussures des orques, les pop-corn Shamu et même des jeux lumineux...en pleine journée !
Ca y est, il est 17h15, le show va commencer ! Ou pas...ils mettent d'abord à l'honneur les vétérans non seulement avec l'hymne américaine mais aussi avec une vidéo hommage, en les faisant lever et avec une acclamation de l'assemblée. Ah, le patriotisme américain ! Encore une vidéo montrant l'importance de s'aimer malgré nos différences, d'aimer nos océans et les protéger et ça y est, les premiers orques apparaissent. Je n'en avais jamais vu en vrai et ils sont vraiment impressionnants. On ressent toute leur puissance lorsqu'ils déplacent des litres et des litres d'eau. Et puis les soigneurs s'en donnent à coeur joie de mouiller les spectateurs, et pour mouiller, ça mouille. Les quinze premiers rangs sont trempés, nous à notre hauteur (rang 19 si je me souviens bien) on est juste à la limite où on ne reçoit plus rien ! On remarquera direct que les soigneurs ne vont plus dans l'eau avec les orques depuis l'incident de 2010, ce qui, il faut l'avouer, enlève un peu à l'extraordinaire. Soit, on en prend plein les yeux pendant une trentaine de minutes (splash, sploush), puis c'est l'heure de dire au revoir au « Sauvez Willy » (qui n'a jamais appelé les killer whale des « Willy » depuis ce film culte, ein ?!? ) et d'attendre que la foule immense se disperse (pour un stade, c'est un fameux stade même si un poil moins grand que celui de Fantasmic à WDW je dirais). Le dernier show a tenu ses promesses mais le reste du parc, c'est moins sûr. Notre bilan est en demi-teinte : les shows valent la peine d'être vu une fois mais il y a peu d'attractions forts éloignées et à lockers. En plus, les pannes ou shows complets semblent être fréquents. On n'y reviendra pas si vite...
Mieux vaut prévenir que guérir!
"les vagues de l'honneur"
Les voilàààà
Ils ont une bonne bouille pourtant quand tu les vois comme ça!
Qui veut être trempé?
Le lac aux sapins
Alors qu'il est 18h et que tout est fermé, on se laisse porter vers la sortie. Une pause pipi puis on se dit : il est tôt alors tant qu'on y est, allons faire part de notre mécontentement au guest service. Les américains apprécient recevoir des feedback pour s'améliorer. Je charge Carole de la tâche vu qu'elle a encore pu moins faire avec l'histoire du Manta. Calmement, elle explique qu'on a perdu presque 2heures pour ne jamais faire une attraction. Je sais que les pannes ça arrive mais là qu'une attraction tombe aussi souvent en panne sur une journée, ce n'est pas normal. Autant la fermer dès le matin, au moins les gens ne perdent pas de temps dans la file. Puis elle ajoute le fait qu'on l'ait fait sortir de Manta alors que le harnais avait été vérifié et sécurisé. Et là, sans qu'on ne demande rien, l'employée nous demande quelques infos puis nous tend deux tickets d'entrées valables dans les 7 jours avec des pass express. On est sur le cul. Nous on voulait juste se soulager et hop, nous voilà avec une contrepartie. Je n'en reviens pas du service à l'américaine. On les prend, toutes surprises de ce geste même si on sait que malheureusement on n'aura pas le temps de revenir pour en profiter. Sur cette dernière note positive, on rejoint le parking qui s'est déjà bien vidé et c'est tant mieux car les gens sont méga excités à la sortie et aucune politesse n'est de mise !
En 20 minutes, on est de retour au Super 8. Il est tôt mais ce soir on se fait une soirée à la cool pour aussi pouvoir commencer à vider Abraham et ranger les valises avant Disney. Alors au retour, on fait un arrêt au Denny's pour prendre des plats à emporter : un cheesesteak avec frites pour Carole et un Country fried steak avec Cheddar Mashed Potatoes et Dippable Veggies (10,99$) pour moi. On prend aussi chacune une limonade Strawberry-Mango à 2,69$. On attend une dizaine de minutes en compagnie d'une famille française qui avait l'air un peu perdue puis on embarque nos plats direction la chambre. Rien de tel qu'une bonne bouffe à la ricaine arrosée d'un petit verre de vin après une journée de parc. Mon escalope (car on peut définitivement la dénommer ainsi) est bien bonne avec la gravy et la purée au cheddar, c'est magnifique ! La lemonade est rafraîchissante, bref on a bon !
L'Orlando Eye
Au Denny's au coin de la rue
Super 8
Saut en parachute intérieur mais surtout ce sunset <3
Wet'n'wild
Mon country fried steak servi avec pains à l'ail
Cheesesteak
Cheers
Après ce bon repas ricain, alors que je m'affairais dans ma valise, Carole a déjà vidé tout Abraham alors que j'arrive en bas. Il n'y a plus grand chose à prendre (ouiiii, on n'a plus une voiture de barakis! ). Il ne reste plus « qu'à » trier et ranger. Mais avant, un petit plouf à la piscine...enfin trempette des pieds car elle est super froide ! Mais ce moment de papote est sympathique et nous permet d'être en forme pour finir nos valises. On ne quitte pas le motel demain mais une autre grosse journée s'annonce...